Voir une drôle de sorcière dans un nuage, ça nous est tou·te·s arrivé, non ?
Et vous, vous voyez des smileys dans votre tasse à café ? Et quand vous étiez enfant ?
Je crois que cette capacité à transformer notre environnement par notre imagination, nous pouvons la (re)développer maintenant. Et ce qui est génial, c’est que nous pouvons mettre cette créativité au service de notre relation avec notre enfant.
Voici quelques « trucs » perso :
- le jeu libre, l’invention d’histoires : habitacle voiture = formidable vaisseau spatial. Distribuez les rôles (pilote, copilote, navigateur·ice, mécanicien·ne pour les inévitables avaries en cas d’attaque extraterrestre…), et c’est parti. Quand les enfants reprennent le scénario en main, c’est gagné. Version bateau de pirates disponible ;
- les jeux de devinette, observation, etc. : compter un maximum de voitures/fleurs d’une certaine couleur, imaginer un pays d’origine, une vie ou des noms rigolos des passagers des autres voitures, inventer des slogans farfelus à partir des noms qu’on croise, réinterpréter les panneaux de signalisation, etc. Et vive le schmilblick ;
- les passions : qu’est-ce qui passionne votre enfant ? Vous pouvez le dessiner/construire avec lui·elle, avec ce que vous avez sous la main (sable, cailloux, feuilles…) Ou demander à votre enfant de vous poser des petits quizz qui lui permettront de partager son savoir. Ici en ce moment, c’est passion géo, avec par exemple quelques secondes pour enchaîner chacun·e son tour les noms de pays, jusqu’à épuisement (des pays… ou des participant·e·s) ;
- les souvenirs : les enfants adorent nos souvenirs et anecdotes d’enfance. En observant la situation ou ce qui vous entoure, avec un peu d’entraînement, les souvenirs à partager devraient remonter.
Envie d’essayer ? D’autres idées ? J’ai hâte que vous veniez raconter !