Bonjour !
Aujourd’hui, vous en entendrez sûrement parler, c’est la journée internationale des droits de l’Enfant. Pourquoi cette journée ? Comme l’explique l’UNICEF, « Parce que les enfants sont plus vulnérables que les adultes, parce qu’ils n’ont ni droit de vote ni influence politique ou économique, parce que le développement sain des enfants est crucial pour l’avenir de toute société, le monde s’est doté en 1989 de la « Convention internationale des droits de l’enfant » (CIDE). «
Ses 54 articles et quatre principes fondamentaux sont très faciles à trouver, si vous avez envie de les (re)lire. Si certains nous semblent évidents, comme le droit d’avoir un nom, un refuge ou de ne pas faire la guerre, je trouve qu’il est important de nous souvenir que sur Terre, pour de nombreux enfants, ces droits sont bafoués. Difficile d’agir à notre échelle… Mais pour d’autres, comme le droit d’être protégé de la violence et de la maltraitance, le droit à la liberté d’information, d’expression et de participation, ou le droit d’être entouré et aimé, il y a encore du chemin à faire, même chez nous !
Même si la route est longue et ponctuée de régressions (c’est souvent « deux pas en avant, un pas en arrière », comme l’illustrent les difficultés à faire passer en France une loi supprimant le « droit de correction » sur les enfants), je trouve que la conscience et les pratiques progressent.
Ce que j’ai envie de souligner, encore et toujours, c’est qu’en parallèle de toutes les actions de protection des enfants, il est primordial de sensibiliser et soutenir, avec bienveillance et sans jugement, les parents et tous les adultes qui accompagnent des enfants au quotidien ! Parce que la journée internationale des Droits de l’enfant… pour moi c’est aussi celle de l’enfant que nous avons tou.te.s été 🙂